8th IMCWP, Contribution of Communist Party of Greece

11/10/06, 12:45 PM
  • Greece, Communist Party of Greece 8th IMCWP Fr Europe Communist and workers' parties

Lisbon Meeting 10-12 November 2006, Contribution of CP of
Greece [Fr.]
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From: Algerian Party for Democracy and Socialism, Thursday,
April 12, 2007
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Rencontre des Partis Communistes et Ouvriers

Lisbonne 10-12 novembre 2006

Contribution du Parti Communiste de Gr�ce (KKE)

 

Sexta, 10 novembre 2006

Chers camarades,

Nous aimerions remercier le parti communiste portugais pour
l'hospitalit� qu'il a assur�e � Lisbonne, pour saluer la
tenue d'une autre rencontre des Partis Communistes et
Ouvriers, et pour saluer tous les d�l�gu�s ici pr�sents. La
rencontre de cette ann�e marque un pas de plus dans le
processus de nos rencontres internationales. Celles-ci
r�pondent au besoin objectif pour tous les partis de se
rencontrer, de discuter, de coordonner leurs efforts et
d'entreprendre des actions communes pour r�soudre les
probl�mes cr��s par la barbarie et l'agressivit�
imp�rialistes qui se manifestent dans tous les secteurs.
Elles r�pondent au besoin d'�laborer autant que possible
une strat�gie commune pour traiter nos probl�mes communs,
d'affronter la politique hostile envers les travailleurs et
le mouvement communiste et ouvrier, et de d�velopper notre
action internationaliste et notre solidarit� qui �veillent,
mobilisent, et apportent des r�sultats.

La grande campagne de l'ann�e derni�re dans toute l'Europe
contre la motion anti-communiste � la Commission
Parlementaire du Conseil de l'Europe est un exemple qui
prouve l'efficacit� de cette action unie et coordonn�e,
ainsi que l'importance de la d�fense in�branlable des
traditions, de l'identit�, et de l'histoire du mouvement
communiste.

Sans abandonner un seul instant notre action sur les
probl�mes urgents cr��s par la guerre et l'agression
imp�rialistes, surtout au moment o� le niveau de vie des
peuples continue de se d�grader, quand la r�pression d'�tat
augmente, quand les libert�s et les acquis d�mocratiques
sont rogn�s et quand la pauvret� et la faim augmentent,
nous devons en m�me temps, � notre avis, �tendre nos
discussions et notre action unie en mettant en avant
l'alternative communiste, la perspective du socialisme.

En ce moment, des r�alignements sont imminents dans le
syst�me international imp�rialiste. Les relations entre les
deux centres imp�rialistes les plus puissants, les USA et
l'UE deviennent plus antagoniques et plus complexes, et les
contradictions � l'int�rieur des rangs de l'UE s'aiguisent.
En plus des centres imp�rialistes et des plus grandes
puissances imp�rialistes, d'autres �tats capitalistes
�mergents sont aussi entr�s dans la course pour plus de
comp�titivit�.

L'agressivit� imp�rialiste est accompagn�e de luttes plus
intenses, une contestation plus claire de la politique de
l'UE, de l'OTAN, et d'autres associations imp�rialistes,
mais aussi par des mesures anti-communistes, durement
anti-d�mocratiques, et la r�surrection de courants
opportunistes et d�faitistes.

La social-d�mocratie, d'un c�t�, adopte des positions
politiques plus r�actionnaires et d'un autre c�t�, elle
s'engage activement dans la neutralisation des exigences
populaires en les confinant dans les limites plus �troites
impos�es par la reproduction du syst�me. Le d�clin d'un
certain nombre de � mouvements � manipul�s par le capital
et la social-d�mocratie, sans se soucier de leur influence
sur certaines forces de la gauche, montre qu'en d�pit du
soutien de centres puissants et de monopoles
internationaux, la vie elle-m�me met des limites �
l'efficacit� de la machinerie de manipulation et
d'assimilation.

Mais � moins d'avoir un mouvement communiste fort et
distinct capable de diriger une contre-attaque strat�gique,
les mouvements populaires �mergents et les forces radicales
seront plus vuln�rables � la confusion, la d�sorientation
et l'assimilation. C'est pourquoi nous croyons dans
l'importance vitale de la contre-attaque id�ologique par
les Partis Communistes qui croient en la n�cessit� et le
r�alisme de la lutte pour renverser le syst�me capitaliste,
pour le socialisme.

L'intensit� des contradictions concerne une nouvelle
allocation des sph�res d'influence dans le contr�le des
sources d'�nergie, des routes et des march�s dans
diff�rentes r�gions de la plan�te.

En Europe, le point de dispute pendant cette p�riode est la
r�gion �nerg�tique qui inclut les anciennes r�publiques
sovi�tiques qui disposent de riches gisements de p�trole et
de gaz naturel (comme le Kazakhstan, l'Ouzb�kistan, le
Kirghizstan, et la r�gion du Caucase en g�n�ral) et s'�tend
aux r�gions p�troli�res arabes comprenant l'Iraq et l'Iran.

Les Am�ricains veulent contr�ler ces sources et les routes
par lesquelles les produits p�troliers sont transport�s ;
et en m�me temps, sous pr�texte de s�curit� �nerg�tique,
ils veulent limiter ou isoler le passage du p�trole et du
gaz naturel provenant de la F�d�ration de Russie vers l'UE.
Il y a de fortes objections � cela de la part des grands
pays de l'UE comme l'Allemagne, la France, l'Italie et
d'autres dont les besoins en �nergie d�pendent directement
de la Russie.

L'intense comp�tition monopoliste entre les int�r�ts acquis
se d�veloppe et concerne la r�gion enti�re y compris les
pays des Balkans.

Une relation �troite existe entre ce fait et un certain
nombre de d�veloppements dans les Balkans pendant ce temps,
comme le r�f�rendum sur l'ind�pendance du Mont�n�gro, la
tension observ�e dans la d�termination du statut soi disant
final du Kosovo, le puissant refus observ� en Serbie, la
pression et le bras de fer exerc� sur la Serbie pour
qu'elle accepte la s�cession et le protectorat de l'OTAN,
et la pr�occupation de tous les pays de la r�gion devant la
possibilit� d'une nouvelle phase de confrontations et de
d�stabilisation. Ceci est � son tour reli� avec la position
de la Turquie et ses n�gociations pour acc�der � l'UE, la
position de la Gr�ce et celle de la R�publique Chypriote
qui, bien que nouveau membre de l'UE, n'a pas encore r�solu
le probl�me de 38% de l'�le toujours occup�s par l'arm�e
turque, etc.

Cette br�ve �num�ration vise � montrer la situation
complexe que l'imp�rialisme a cr��e dans la r�gion avec ses
interventions et son ing�rence brutale.

La pr�sence militaire des USA et de l'OTAN a augment� dans
tous les pays des Balkans, en termes � la fois de troupes
et de bases. Deux des plus grandes bases USA-OTAN sont au
Kosovo et dans la FYROM ; de nouvelles bases ont �t� cr��es
en Bulgarie et en Roumanie en plus de celles qui existent
depuis des ann�es en Gr�ce et en Turquie. Ces base ont pris
une part active dans les interventions en Yougoslavie, an
Afghanistan, en Iraq et elles sont par�es � toute
�ventualit� ou � toute offensive contre l'Iran, la Syrie,
ou la r�gion du Caucase.

Nous devrions ajouter ici que la participation de l'UE �
des missions militaires et � des forces d'occupation a
augment� consid�rablement. Ses forces sont d�j� dans les
Balkans, en Afrique, en Afghanistan, en Iraq, et
maintenant, sous pr�texte de la r�solution inacceptable
1701/2006 sur le Liban, l'UE constitue la majorit� de la
soi disant force de paix dans la r�gion. Derri�re la
mission de � pr�servation de la paix �, il y a, comme nous
le savons tous, Guantanamo et d'autres endroits de ce
genre. Ce que cette � force de paix � va essayer d'imposer
au Liban, on le sait aussi plus ou moins.

Nous, le KKE, nous nous sommes cat�goriquement oppos�s � la
participation de la Gr�ce � des missions de ce genre. Nous
exigeons le retour de toutes les missions militaires
grecques, ce qui est aussi une exigence plus g�n�rale du
mouvement.

En m�me temps, dans l'UE et dans toute l'Europe, sous
pr�texte de combat contre le terrorisme, la r�action avance
tous azimuts pour limiter les acquis et les libert�s
d�mocratiques en mettant en place un tissu de lois
anti-d�mocratiques qui consid�rent chaque citoyen comme un
� coupable �, qui le tient sous surveillance partout, et
qui p�nalise les mobilisations et les manifestations
populaires, etc.

Il n'est pas du tout accidentel que ces mesures soient
accompagn�es par un anti-communisme croissant � travers la
� motion anti-communiste � et l'exigence que le communisme
soit condamn� id�ologiquement et politiquement, par des
pers�cutions et des proc�s de communistes, et par mise hors
la loi de partis communistes, l'action inacceptable la plus
r�cente �tant la mise hors la loi de la Jeunesse
Communiste Tch�que. La raison invoqu�e pour interdire la
Jeunesse Communiste Tch�que, c'est-�-dire qu'elle conteste
la propri�t� priv�e des moyens de production et qu'elle met
en avant le besoin de leur socialisation, montre � quel
point il est dangereux d'accepter comme une fatalit� les
limites de la l�galit� bourgeoise et de faire des
concessions id�ologiques et politiques � l'ennemi de
classe, concessions qui sont propos�es par les forces de
l'opportunisme et le Parti de la Gauche Europ�enne, comme
cela a �t� exprim� par les forces dirigeantes de cette
formation. Il y a aussi l'effort absurde entrepris par la
propagande imp�rialiste pour identifier le Fascisme-Nazisme
(c'est-�-dire la dictature ouverte du capital monopoliste)
avec le communisme (le libre d�veloppement de la
personnalit� de chacun par l'abolition de l'exploitation de
l'homme par l'homme). En d�pit du fait que la m�prisable
motion condamnant le communisme ait �chou�, gr�ce � la
mobilisation de masse et � la coordination des Partis
Communistes et Ouvriers pour sensibiliser l'opinion
publique d�mocratique, un certain nombre de gouvernements,
comme le gouvernement tch�que, ont pris des mesures comme
l'interdiction de la Jeunesse Communiste Tch�que, ou comme
certains �tats baltes qui consid�rent l'arm�e nazie comme
des lib�rateurs et lui �rigent des monuments. Dans le
Parlement Europ�en aussi, des r�solutions inacceptables ont
�t� propos�es contre Cuba, la RPDC, et d'autres pays qui
r�sistent � l'ordre mondial imp�rialiste ; et ces
r�solutions sont propos�es par les repr�sentants de partis
de gauche et progressistes. A notre avis, sont aussi
responsables ceux qui consentent � de telles actions, ou
qui apparemment sous-estiment l'anti-communisme et ses
manifestations, ceux aussi qui provoquent la r�surgence de
l'extr�me droite et des forces r�actionnaires en Europe.

Il n'est pas non plus accidentel que les conflits montent
dans l'UE entre ses forces dirigeantes ; son d�s�quilibre
s'accro�t et l'Union elle-m�me fait face � une crise
d'orientation comme on l'appelle, avec du ch�mage � grande
�chelle, avec le d�clin du niveau de vie et des attentes
des couches laborieuses en comparaison avec ce qui lui
�tait promis, et avec l'�chec de la soi- disant
Constitution, pr�cis�ment � cause de la r�sistance qui
s'intensifie et de le mobilisation des mouvements de masse
populaires, obtenus � travers la contribution active de nos
Partis Communistes et Ouvriers.

Ces d�veloppements soulignent le besoin de mieux
coordonner nos actions, nos initiatives communes et la
solidarit� internationale.

Nous avons devant nous le prochain sommet de l'OTAN qui va
se tenir � Riga ce mois-ci, o� l'imp�rialisme US va pousser
pour la cr�ation d'une OTAN globale, en l'�tendant pour
englober des pays comme l'Australie, la Nouvelle Z�lande et
le Japon, bas�e sur des mod�les d'alliances avec des pays
en Europe centrale et orientale qui ont conduit � leur
adh�sion � l'OTAN. Une tentative est ainsi faite pour
�tendre l'OTAN pour des pays en M�diterran�e, en Afrique,
et en Am�rique du sud.

Les d�veloppements qui ont lieu dans plusieurs pays
d'Am�rique latine causent des soucis aux imp�rialistes.
Pour tous les peuples, et surtout pour les peuples de la
r�gion, il y a l'exemple brillant de Cuba socialiste, que
les USA, malgr� des efforts persistants n'a pas pu
renverser. Les d�veloppements au Venezuela, avec les
mesures du Pr�sident Chavez et l'action des communistes et
du mouvement populaire pour approfondir les changements,
constituent un facteur plein d'esp�rance dans les luttes
des peuples.

Les d�veloppements en Bolivie avec l'�lection de Morales et
les premi�res mesures en faveur des couches laborieuses, en
conjonction avec la nationalisation de l'industrie des
hydrocarbures, et la r�sistance populaire qui se d�veloppe
et les manifestations au Mexique et au Chili, tout cela
exprime le d�sir des travailleurs et des couches populaires
de se d�barrasser du joug des monopoles et de contr�ler les
richesses et les ressources de leur propre pays. Il est
int�ressant d'observer l'�volution de la lutte en Am�rique
latine, et comment le combat contre les interventions et la
domination a �t� li�e � la lutte des classes, la lutte de
la classe ouvri�re et de ses alli�s pour le pouvoir au
peuple, pour le renversement du capitalisme et pour le
socialisme.

La r�sistance populaire arm�e libanaise victorieuse contre
Isra�l et le combat continu du peuple palestinien pour
l'ind�pendance et pour leur propre �tat viable � c�t�
d'Isra�l, avec J�rusalem Est comme capitale, constituent
des exemples de r�sistance aux plans imp�rialistes pour la
soi disant � d�mocratisation � du Moyen Orient. Ces
exemples, avec la r�sistance du peuple irakien contre
l'occupation imp�rialiste de l'Iraq, renforcent le front de
lutte contre le nouvel ordre mondial que les imp�rialistes
essaient d'imposer par la force et le carnage.

Quand on voit le vacarme cr�� par les imp�rialistes �
propos du programme nucl�aire iranien et l'essai nucl�aire
par la RPDC, nous avons ceci � dire : le Trait� de non
prolif�ration de 1967 a autoris� le Conseil de S�curit� de
l'ONU � offrir la protection (un parapluie nucl�aire) aux
pays qui ne poss�dent pas d'armes nucl�aires, mais
pourraient �tre menac�s par des puissances nucl�aires. De
plus, les �tats qui poss�dent des armes nucl�aires
prennent l'engagement express de prendre des mesures
substantielles et concr�tes avec le but ultime d'abolir les
armes nucl�aires (Article VI). Ceci �tait un engagement
encore plus contraignant pour les cinq membres permanents
du CS qui sont des puissances nucl�aires. Aussi, le m�me
trait� donne aux autres membres qui ne poss�dent pas l'arme
atomique le droit d'avoir leur propre programme pour
d�velopper, produire, et utiliser l'�nergie nucl�aire dans
des buts pacifiques ; il leur permet aussi d'acqu�rir la
technologie nucl�aire pour un usage pacifique, en
collaboration avec d'autres signataires (qui poss�dent une
telle technologie). Le gouvernement iranien est dans ce
cas, qui a d�clar� que son programme consiste � utiliser
l'�nergie nucl�aire dans des buts pacifiques, comme c'est
le droit pour un signataire de ce trait�. Et bien que les
USA aient reconnu qu'il en avait le droit, ils invoquent
l'argument que le gouvernement de l'Iran n'est pas fiable !

 

Aucune puissance imp�rialiste, aucune organisation
internationale n'a l�galement le pouvoir de formuler des
d�cisions contre des peuples, d'intervenir, ou de
d�terminer qui est autoris� � d�tenir l'�nergie nucl�aire
ou non. L'effort pour former l'opinion publique en cette
mati�re rappelle les pr�parations pour l'attaque de l'Iraq.
Le programme nucl�aire n'est qu'un pr�texte, comme les �
armes de destruction massive � suppos�es en possession de
l'Iraq �taient un pr�texte ! Il ne peut y avoir deux poids
deux mesures, surtout quand Isra�l dispose d'un arsenal
nucl�aire moderne, et que sa politique agressive constitue
une menace pour tous les peuples de la r�gion.

Dans le cas de la RPD de Cor�e, ces obligations ne
s'appliquent pas puisque la R�publique Populaire s'est
retir�e du Trait� de 1967 et de l'Agence Internationale de
l'Energie Atomique (AIEA). En m�me temps, elle a �t�
ouvertement menac�e par une puissance nucl�aire, les USA,
qui l'a plac�e � l'int�rieur du soi disant Axe du Mal ; et
elle est encercl�e par des bases militaires US qui ont
l'arme nucl�aire sur le territoire de la Cor�e du Sud.

La RPDC d�fend le droit de tout pays � r�sister aux menaces
de l'imp�rialisme. Elle demande le retrait des forces US de
Cor�e du Sud et pour la p�ninsule cor�enne le statut de
zone d�nucl�aris�e.

Nous soutenons aussi l'id�e de zones d�nucl�aris�es et
consid�rons l'abolition de toutes les armes nucl�aires
comme une exigence opportune pour la lutte de tous les
peuples.

Chers camarades,

Dans tous ces d�veloppements internationaux complexes, nous
croyons qu'une conclusion de base doit �tre tir�e :
objectivement aujourd'hui, plus que jamais auparavant, la
lutte anti-imp�rialiste, anti-monopoliste est li�e plus
�troitement et plus organiquement que jamais � la lutte
pour renverser le capitalisme. Les fissures qui sapent les
fondations de la supr�matie capitaliste sont inh�rentes �
sa nature elle-m�me. Elles cr�ent les conditions
n�cessaires pour que la classe ouvri�re et ses alli�s
prennent le pouvoir politique. Nous, Partis Communistes et
Ouvriers, subordonnons notre action � cette t�che
historique.

Nous pensons que l'ann�e prochaine, � l'occasion du 90�me
anniversaire de la R�volution Socialiste d'Octobre, nous
pourrons promouvoir une s�rie d'initiatives (�v�nements,
symposiums, etc.) et d'autres actions commen�ant t�t en
2007 et culminant en novembre 2007, s'attaquant aux vues
hostiles diverses et aux th�ories qui contestent la
contribution historique de l'URSS et qui ont vis� le
pouvoir sovi�tique et la construction de la soci�t�
socialiste.

D'autres actions pourraient comprendre :
Des initiatives et des actions communes contre les
pr�sidences de l'UE et les rencontres au sommet dans le
futur imm�diat.

Une campagne pour mettre en lumi�re la pertinence de la
comm�moration de la grande R�volution Socialiste d'Octobre
en 2007.

La solidarit� avec le processus bolivarien au Venezuela.

Action contre l'anti-communisme, soutien � l'initiative du
Parti Communiste de Boh�me Moravie les 25-26 novembre 2006
� Prague. Garder syst�matiquement le cap sur les questions
reli�es aux pers�cutions des Partis Communistes et des
autres forces anti-imp�rialistes. Cr�ation d'un groupe de
travail sur ces questions. Campagne contre la mise hors la
loi de la Jeunesse Communiste Tch�que.

Campagnes pour les droits et libert�s d�mocratiques.
Initiatives sur les droits des migrants.
Campagnes pour le retrait des forces �trang�res
d'occupation d'Iraq, contre l'OTAN, contre les d�cisions du
sommet de Riga et les bases militaires �trang�res.
Rencontre anti-OTAN des partis et mouvements des Balkans �
Thessalonique en mai 2007.

Action continue pour la lib�ration des cinq patriotes
cubains qui sont emprisonn�s aux USA.

Soutien actif pour des rencontres r�gionales et
sous-r�gionales et initiatives des Partis Communistes.

Action contre le plan de � Grand Moyen Orient �. Missions
de solidarit� de repr�sentants de Partis Communistes au
Liban, en Syrie, en Palestine et en Isra�l.

Soutien actif aux initiatives des organisations
anti-imp�rialistes internationales du mouvement ouvrier, de
la jeunesse, des �tudiants, de la paix et des femmes, qui
son planifi�es pour un futur imm�diat.

Aleka Papariga, Secr�taire G�n�ral du CC du KKE.

[Remerciements a PADS pour la traduction en Fran�ais]

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April 25, 2025 - April 27, 2025 - Spain XII Congress of the CP of the Peoples of Spain